Grande Traversée du Massif Central (GTMC) en intégralité ou presque

par jpaguet - édité le 22 novembre 2020, créé le 31 décembre 2011 il y a 4 ans (autres traces de l'auteur)
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50 h 650 km 13000 m 13300 m
AM / XC Non 1700 m Non

All Mountain / XC : C'est la randonnée classique avec en général autant de dénivelé positif que négatif lorsqu'il s'agit d'une boucle. Les chemins sont roulants et l'effort est plus physique que technique. Il n'y a quasiment pas de portage et le parcours peut se réaliser avec un vélo semi rigide.

Enduro : L'intérêt du parcours est avant tout axé sur la descente (souvent technique voire engagée), la montée se fait par la route et/ou des chemins larges et le plaisir est à la descente. Vélo tout suspendu obligatoire.

DH / Gravity : Seule la descente se passe sur le vélo. La montée est faite via navette ou remontée mécanique. La difficulté de la descente est indiquée par des couleurs lorsqu'il s'agit de bikeparks. Vélo tout suspendu et protections du corps obligatoires.

Rando compatible VAE (VTT à Assistance Électrique) :

Vérifié : L'auteur l'a parcourue en VAE.

Possible : L'auteur ne l'a pas parcourue en VAE mais aucun portage n'est nécessaire. La rando comporte éventuellement des poussages.

Non : L'auteur ne l'a pas parcourue en VAE et des portages sont nécessaires.

Activité récente : 223 fois 2 fois

Massif :
Massif Central
Carte(s)
IGN + guide Chamina
Cotations et Indicateurs de difficulté
Cotation UtagawaVTT
Cotation site labelisé

Définition des niveaux :

Vert : Très facile, 1 à 3h, 8 à 15 km, pente <7 %, dénivelé < 300m, nature des voies A et B
Bleu : Facile, 2 à 3h, 15 à 25 km, pente <12 %, dénivelé < 300 à 500m, nature des voies B et C
Rouge : Difficile, 2 à 4h, 15 à 35 km, pente entre 7 et 18 %, dénivelé de 500 à 1000m, nature des voies B, C et D.
Noir : Très difficile, > 4h, > 35 km, pente entre 12 et 18 %, dénivelé > 1000m, nature des voies D et E

Nature des voies

A = voie goudronnée, revêtu ou empierré.
Praticabilité = très bonne revêtement roulant, croisement possible avec une voiture.

B = large chemin forestier, piste en terre, chemin d'exploitation.
Praticabilité = Bonne revêtement moins roulant herbeux caillouteux.

C = Chemin forestier ou agricole avec ornière ou zone humide.
Praticabilité = bonne à moyenne, croisement possible entre 2 VTT.

D = Vieux chemin entre murets, sentier quelquefois encombrés de cailloux, racines d'arbre, branche, rochers.
Praticabilité = moyenne à difficile, croisement difficile, largeur limité à 1 VTT.

E = Sentier muletier, pédestre, bande de roulage très réduite.
Praticabilité = difficile, encombrement latérale, sentier sur creusé, végétation importante, passage très étroit entre arbres et buissons.

Définition des niveaux :

La cotation site labelisé reproduit le niveau de difficulté associé par l'organisme responsable de la trace (Base VTT ou Bike Park).

Non coté - La trace ne fait pas partie d'un site labelisé
Vert - Très facile
Bleu - Facile
Rouge - Difficile
Noir - Très difficile
Double noir - Elite, en descente uniquement

Difficulté physique (VTT musculaire)
Difficulté technique

Définition des niveaux :

Ce paramètre permet une évaluation de la difficulté globale du parcours (en VTT musculaire) selon 3 critères.

La distance (km)
1 = < 20
2 = 20 à 30
3 = 30 à 40
4 = 40 à 50
5 = 50 à 60
6 = > 60

Le dénivelée maximum entre la montée et la descente (m) :
1 = < 200
2 = 200 à 400
3 = 400 à 600
4 = 600 à 800
5 = 800 à 1200
6 = > 1200

Et la praticabilité (prendre le chemin majoritaire dans la course)

1 = Voie goudronnée, revêtue ou empierrée.
Praticabilité = Très bonne, revêtement roulant, croisement possible avec une voiture.
2 = Large chemin forestier, piste en terre, chemin d'exploitation.
Praticabilité = Bonne, revêtement moins roulant herbeux caillouteux.
3 = Chemin forestier ou agricole avec ornière ou zone humide.
Praticabilité = Bonne à moyenne, croisement possible entre 2 VTT.
4 = Vieux chemin entre murets, sentier quelquefois encombré de cailloux, racines d'arbres, branches, rochers.
Praticabilité = Moyenne à difficile, croisement difficile, largeur limité à 1 VTT.
5 = Sentier muletier, pédestre, bande de roulage très réduite.
Praticabilité = Difficile, encombrement latéral, sentier surcreusé, végétation importante, passage très étroit entre arbres et buissons.
6 = Sentier muletier, pédestre, bande de roulage très réduite en terrain pentu avec virage en épingle
Praticabilité = Difficile encombrement latéral, sentier sur creusé, végétation importante, passage très étroit.

La difficulté est alors calculée par le choix du maximum de tous ces paramètres.

Définition des niveaux :

Ces cotations ne s'entendent non pas comme la cotation maximale sur un passage, mais comme une moyenne sur toute la section. En matière de technique à VTT le spectre de pratique est si grand que quand c'est trop facile, trop large, on ne trouve pas de plaisir de pilotage, et au contraire si c'est trop technique on est à coté du vélo... La cotation technique est donc là pour vous situer et choisir des itinéraires à votre niveau, avec globalement le sentiment d'avoir pris plaisir à le parcourir (en dehors des autres plaisirs paysage/physique).

1 = Il s'agit de voies larges, pistes, ou de sentiers plus étroits, mais sans grande courbe, quasi plats ou pentus mais lisses ! S'adresse à toute personne sachant pédaler : Le placement sur le vélo n'a aucune importance, il faut juste rester en selle et pédaler pour garder son équilibre, et savoir freiner.

2 = Il s'agit de sentier larges, peu pentus et présentant peu d'obstacles. Le placement sur le vélo consiste à ce niveau à pencher le vélo pour prendre les virages (plus ou moins rapidement). C'est généralement le niveau des initiés , ou des débutants doués.

3 = Le sentier se fait étroit (30cm) et plus sinueux, mais toujours dénué de gros obstacles nécessitant un gros ralentissement. Le positionnement sur le vélo doit être plus précis : pied en bas extérieur dans les virages, aisance dans les épingles, passage en arrière du vélo dans les zones plus raides. C'est le niveau de la grande majorité des pratiquants réguliers. Sur le grand parcours de n'importe quelle randonnée organisée, on voit surtout des vététistes de ce niveau.

4 = En plus d'être étroit et sinueux, le sentier lui même présente des difficultés qui obligent à placer la roue dans quelques cm, de se positionner sur le vélo de manière précise, de savoir moduler son freinage pour passer lentement. On peut rencontrer des marches assez hautes qui nécessitent des capacités en franchissement, des épingles fermées, un terrain fuyant, une forte pente. C'est le niveau de beaucoup de vététistes qui n'aiment pas poser le pied et apprécient un certain engagement.

5 = Par rapport au niveau précédent la notion d'équilibre sur le vélo et de lecture du terrain monte d'un cran. Il ne s'agit plus de passer des obstacles au ralentit, mais d'être à la limite de l'équilibre. On est très proche du trial : épingles à passer obligatoirement en nose turn obligatoire, marches très hautes etc.

6 = On prend les difficultés du niveau 5 et on les additionne, c'est à dire qu'on peut combiner pente très raide avec épingles trialisantes !

Engagement
Poussage & Portage

Définition des niveaux :

L'engagement de la course inclut différents critères : le degré d'isolement, l'altitude, la longueur de la course et la dénivellation qui vont jouer sur l'état de fraîcheur du VTTiste et donc sur ses capacités physiques à négocier un passage délicat.
On peut aussi ajouter à l'engagement certains caractères influents sur le moral du VTTiste : la météo, la praticabilité du circuit. Il n'est pas toujours facile de rouler la peur au ventre en pensant aux blessures d'une chute éventuelle.
L'engagement est donc subjectif et évolue en fonction de la personnalité, de l'expérience et de l'entraînement du VTTiste.

1 = Faible
2 = Peu important
3 = Important
4 = Exposé
5 = Très exposé
6 = Extrêmement exposé

Définition des niveaux :

1 = Aucun poussage ni portage
2 = Petits poussages possibles (suivant son aptitude à grimper ou descendre)
3 = Poussage sur distance d'au moins 100m
4 = Petits portages de quelques mètres
5 = Portage de 10 à 100 m en distance
6 = Portage plus de 100 m en distance

Climbbybike (?) 925
Trace GPS
Trace GPS (GPX) Trace GPS inversée Envoyer vers Suunto Envoyer vers Garmin Envoyer vers TwoNav
Envoyer sur Dropbox
Envoyer par email Modifier sur OpenTraveller Imprimer Trace GPS (KML)
Météo (par OpenWeather)
Légère pluie
28 avr 2025 9°C - 19 °C
Légère pluie
29 avr 2025 11°C - 21 °C
Légère pluie
30 avr 2025 12°C - 22 °C
Ciel dégagé
1 mai 2025 14°C - 24 °C
Itinéraire
Trace presque complète de la GTMC au plus près de l'itinéraire idéal décrit dans le guide de référence. Nous sommes partis à deux, début août, avec peu de bagages dans un sac à dos relativement léger (nuit dans les gîtes, point de rencontre avec une assistance à Orcival et à Florac). L'itinéraire est superbe, une vraie découverte grâce à de magnifiques chemins le plus souvent très bien entretenus, des rencontres sur les vélos et dans les gîtes qui permettent de rompre la solitude des grands espaces. Parcours en 8 jours :
J1 : Clermont-Ferrand - Orcival (72 km) : le point de départ à Volvic aurait été préférable, le démarrage dans la ville n'est pas indispensable. Ensuite, après Volvic, tout est magnifique, le contournement du Puy de Dôme, puis du Puy de la Vache sur des sentiers en revêtement volcanique est très original et nous fait entrer dans la traversée. Pas de réelles difficultés sauf quelques raidillons (le premier à froid pour sortir de Clermont-Ferrand, après Durtal et un second quelques kilomètres avant Orcival). Nuit au gîte d'Orcival (excellent accueil).
J2 : Orcival - Boutaresse (70 km) : Là encore, superbe étape, avec deux difficultés (l'une à froid à la sortie d'Orcival, la seconde très rude après le lac Chambon pour monter au village de Saint Victor). Le reste se fait aisément sans aucune difficulté technique. Cependant, la descente sur la Godivelle est un peu dangereuse (barbelés en travers du chemin). Seule la traversée sur 3 km à partir de la Godivelle vers Boutaresse est pénible. Commencer l'étape à froid par ce tronçon l'aurait été encore plus, d'où la nuit au gîte de Boutaresse (excellent accueil avec une recette de poulet aux cèpes !!!). Prévoir le ravitaillement à Besse, pas d'autres commerces ensuite.
J3 : Boutaresse - Ruynes-en-Margeride (hameau Masset) (80 km) : Jusqu'à Neussargues (ravitaillement possible), tout se passe bien, la montée à la sortie de Boutaresse est longue mais très régulière, la descente qui suit est splendide avec un record de vitesse (78 km/h aux burons de Paillassère), le paysage du Cézalier est inoubliable. Ensuite cela se gâte avec de la route, la traversée de Saint-Flour (réparateur VTT très efficace à côté de l'office du Tourisme, place de la Liberté) puis d'une autoroute. Heureusement la remontée sur la Margeride sauve le tout, même si la montée sur Trailus est rude (long poussage sur 200 m). Etape longue avec un fort dénivelé. Nuit au gîte de Madame Chanson au hameau du Masset (04.71.23.41.28), une gentillesse extraordinaire dans un gîte très confortable (pas de restauration dans le hameau). Le gîte est un peu à l'écart de l'itinéraire (2 km à l'est de Trailus, 6 km au nord-est de Ruynes), mais on peut le retrouver le lendemain sans difficulté en coupant à travers bois. Prévoir le ravitaillement à Saint-Flour ou Ruynes.
J4 : Ruynes-en-Margeride (hameau Masset) - la Cabane des Bouviers (60 km) : ce doit être une jolie étape, dans un paysage sauvage. Mais nous l'avons effectuée dans le brouillard et sous la pluie. Un chemin part derrière le gîte de Masset et permet d'accéder sans peine au plateau au prix de quelques très légers poussages (balisage avec un trait jaune). Ensuite, la piste est très roulante avec quelques raidillons. Le balisage dans les bois après le Sauvage est parfois très aléatoire. Mais la trace GPS est bonne. Pas de difficulté. Auberge très accueillante à l'arrivée à la Cabane des Bouviers et nuit au gîte dans un dortoir (pas de ravitaillement possible tout au long de l'étape).
J5 : la Cabane des Bouviers - Gîte du Mont-Lozère (85 km) : c'est à mon avis la plus belle étape (sauf le dernier kilomètre). La traversée de la Margeride est splendide, un vrai sentiment d'isolement. La montée au Mont Lozère est régulière et sans réelle difficulté, d'abord sur une petite route puis sur un étroit chemin forestier.... et une fois en haut, la traversée tout au long de la crête est inoubliable. Sauf qu'il faut redescendre vers un gîte dans une "station de ski"... Coucher de soleil splendide. Prévoir le ravitaillement à Bagnols
J6 : Gîte du Mont-Lozère - Caussignac Sainte Enimie (80 km) : Etape en trois temps, descente très rapide depuis le Mont-Lozère, puis long parcours en sous-bois avec enfin les gorges du Tarn depuis Florac. Le chemin suspendu à flanc de falaise surplombant la rivière est le meilleur moyen d'apprécier son long déroulement tout au long des méandres. Peu de difficultés sauf quelques passages techniques et de nombreux portages dans les gorges du Tarn. La remontée sur le causse est régulière, sur une route, sans réelle difficulté, avec un superbe panorama presque à la fin de la côte. Nuit tout confort à l'hôtel les Carlines. Prévoir le ravitaillement à Florac (sympathique petite ville) ou à Sainte Enimie qui mérite une pause.
J7 : Caussignac Sainte Enimie - Dourbies (75 km) : là encore une étape mémorable, avec la montée sur le Mont Aigoual, mais avant beaucoup de route pour la traversée du causse et les kilomètres avant Cabrillac. Superbe montée dans le sous-bois vers le Mont Aigoual (sous l'orage avec 2° en haut et sous le vent), la descente est technique, parfois délicate et très chaotique d'autant plus que la visibilité n'était pas bonne. La descente entre le col de la Croix de Fer (Ah bon ?) et Saint Sauveur de Camprieu est splendide, très rapide. Ensuite, on retrouve la route pour entamer une longue montée vers le hameau perché de Comeiras. Puis, nous empruntons un très beau et très long passage aérien à partir du village de Comeiras. Accueil très agréable à l'auberge de Dourbies avec un excellent restaurant et de solides plats de pâtes. Ravitaillement possible à Dourbies ou avant à Saint Sauveur de Camprieu. Là encore beaucoup de routes, nous sommes dans le parc national des Cévennes.
J8 : Dourbies - Montarnaud (120 km) : très longue étape qu'il est évidemment possible de scinder. Tout est superbe avec moins de route que pour les deux étapes précédentes. La montée au Mont Guiral est effectuée sur une très agréable route forestière, descente splendide très rapide, traversée du Larzac sur d'excellents chemins, (avec une terre très collante du fait des orages des jours précédents, brossage des pignons tous les 3-4 km). Le trajet entre La Couvertoirade et le pied du Mont Saint Baudille est effectué sur un chemin entre les buis, très roulant. En revanche, la montée sur Saint Baudille est pénible, mais c'est la dernière difficulté. La descente du massif du mont Saint Baudille est absolument splendide avec au départ, en haut du mont, une vue sur la mer. La nature est sauvage, c'est la garrigue ! (avec tout de même une bonne bosse en cours de parcours) En bas de la descente à Saint Jean de Fos et après le Pont du Diable, l'itinéraire perd de son charme, malgré quelques passages sympathiques (notamment avant Aniane). Peu de possibilités de ravitaillement, sauf à la Couvertoirade, mais très cher.
Au retour, nous nous sommes arrêtés au gîte "le relais des Faïsses" (accueil très sympa par un passionné de la région) au hameau de la Vacquerie sans restaurant, mais il en existe un excellent au village. De là, nous sommes allés au cirque de Navacelles qui mérite vraiment le détour.
Nous nous sommes arrêtés à Montarnaud afin de rester sur un souvenir de solitude, sans voiture, sans rond-point et parce que l'étape était déjà longue...
Accès au départ
Durtol ou gare de Clermont-Ferrand.
Itinéraire d'accès
Remarques sur la difficulté
Itinéraire très long, peu technique (sauf dans les gorges du Tarn) et quelques montées physiques. Nous avions un peu d'entraînement (3000 km au compteur avant le départ et plusieurs footings). Le choix de dormir dans les gîtes permet d'alléger la charge portée et permet de se requinquer le soir. Le coût reste réduit (en moyenne 40 € par étape et par personne y compris avec restaurant, petit déjeuner et vivres de la journée), mais cela nuit peut-être au charme de la solitude lors des bivouacs. Seul le hameau de Masset (J3) n'offre pas de possibilité de restauration. Il faut donc prévoir de quoi se nourrir
Le concessionnaire CantalCycle à Saint Flour a été très efficace ! Celui de Mende (accessible depuis Bagnols 21 km ou Florac 30 km l'a été tout autant, pour un autre problème d'étriers de frein).
Remarques sur le portage
Dans les gorges du Tarn et quelques poussettes.
Commentaire de l'auteur sur la sortie
Superbe, notre premier raid et l'envie de recommencer.
Praticabilité
La boue du Larzac est vraiment collante !! Pour le reste pas de problème.
Les chemins sont très abrasifs notamment lorsque le revêtement est d'origine volcanique (partir avec des pneus neufs).

Pour que UtagawaVTT reste gratuit

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⚠️ Avertissement ⚠️

Les parcours qui sont présentés dans cette section sont des comptes rendus de randonnées VTT qui présentent un caractère subjectif et grandement conditionné par le niveau technique de leur auteur, sa maîtrise du pilotage, le type de VTT utilisé ainsi que les conditions de réalisation. Les renseignements sont donnés à titre indicatifs et peuvent se révéler obsolètes par suite d'une évolution du terrain ou de l'environnement.
En aucun cas UtagawaVTT n'incite les utilisateurs à fréquenter les randonnées décrites sur le site et ne pourra pas être tenu pour responsable de l'utilisation des itinéraires, traces GPS et des éventuels incidents qui peuvent survenir sur les parcours proposés.

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